L'Iran part en couille !
Ne voyez pas, une fois de plus, dans ce titre, quelquonque vulgarité ! L'info vient 'Iran Résist qui est toujours très au point sur les infos croust
illantes du régime Perse. Aujourd'hui, on y apprend que, en gros, l'Iran part en couille...
La frustration devenue le point commun de la majorité des Iraniens : 85% de la population est fauchée et sous le seuil de pauvreté, et sa principale obsession est de parler argent...
Pour les plus jeunes, la même obsession existe autour du sexe, dans ce pays où un homme et une femme ne peuvent pas se côtoyer s’ils ne sont pas mariés ou... Frères et sœurs ! La réponse à ces frustrations est la défonce (à l’alccol médical dilué, l’alcool de contrebande, à l’opium, aux cachets ou encore au crack), consommés entre mecs. Mais voilà que la pornographie joue également un rôle de défouloir (si l'on peut dire!), surtout quand on se retrouve entre garçons sans copines (ne parlons pas d'homosexualité ici... Imaginons simplement ce qu'il doit se passer ici ou là).
La nouveauté est que le phénomène "porno" s’est généralisé au point de toucher les plus jeunes, ils sont non seulement consommateurs de drogue et de films pornographiques mais aussi revendeurs de films piratés ou enregistrés sur les chaînes satellitaires. Ce que l’on appelle en Iran les supers films (films X) est devenu une source d’inquiétude pour les familles.

Mais que font les Mollah ? Parcequ'après tout, là est la question... Les Mollahs sont simplement pris entre deux feux ; sa propre envie de gagner des sous sur ce nouveau marché lucratif comme celui des drogues qu’il contrôle (pour dire autant de connerie, il est au moins une certitude... Qu'ahmadinejad ne doit pas être que simple revendeur...), mais aussi la nécessité de se montrer concerné par ce phénomène.
En outre, pour résoudre ce dilemme, le régime des mollahs a organisé la semaine dernière une émission de télévision avec un responsable de la politico-militaire et des psychologues. Ces "maîtres à penser" ont lourdement insisté sur la marginalité du phénomène afin de disculper leurs supérieurs. Cependant, ce n’est pas le contenu du débat qui a marqué les téléspectateurs iraniens, mais le style des interventions. Les invités n’ont jamais prononcé les mots tabous tels "sexe" et "pornographie", mais ils ont longuement parlé de « S »« E »« X » ou encore de la « P »« O »« R »« N » etc...!
Personne n’a donc rien compris et c’était apparament très drôle. Drôle certes mais pas surprenant pour un régime qui parle de « mariage temporaire » pour parler de la prostitution -sic-. Récemment, pour évoquer les films oscarisables en 2009, les journalistes du régime sont tombés sur un os : comment traduire « Sex and the city » ? « Le genre et la ville »... Rien à voir quoi !
(En photo : Ahmadinejad le coquin et deux jeunes homos pendus sur la place publique... Parcequ'homos !)

La frustration devenue le point commun de la majorité des Iraniens : 85% de la population est fauchée et sous le seuil de pauvreté, et sa principale obsession est de parler argent...
Pour les plus jeunes, la même obsession existe autour du sexe, dans ce pays où un homme et une femme ne peuvent pas se côtoyer s’ils ne sont pas mariés ou... Frères et sœurs ! La réponse à ces frustrations est la défonce (à l’alccol médical dilué, l’alcool de contrebande, à l’opium, aux cachets ou encore au crack), consommés entre mecs. Mais voilà que la pornographie joue également un rôle de défouloir (si l'on peut dire!), surtout quand on se retrouve entre garçons sans copines (ne parlons pas d'homosexualité ici... Imaginons simplement ce qu'il doit se passer ici ou là).
La nouveauté est que le phénomène "porno" s’est généralisé au point de toucher les plus jeunes, ils sont non seulement consommateurs de drogue et de films pornographiques mais aussi revendeurs de films piratés ou enregistrés sur les chaînes satellitaires. Ce que l’on appelle en Iran les supers films (films X) est devenu une source d’inquiétude pour les familles.

Mais que font les Mollah ? Parcequ'après tout, là est la question... Les Mollahs sont simplement pris entre deux feux ; sa propre envie de gagner des sous sur ce nouveau marché lucratif comme celui des drogues qu’il contrôle (pour dire autant de connerie, il est au moins une certitude... Qu'ahmadinejad ne doit pas être que simple revendeur...), mais aussi la nécessité de se montrer concerné par ce phénomène.
En outre, pour résoudre ce dilemme, le régime des mollahs a organisé la semaine dernière une émission de télévision avec un responsable de la politico-militaire et des psychologues. Ces "maîtres à penser" ont lourdement insisté sur la marginalité du phénomène afin de disculper leurs supérieurs. Cependant, ce n’est pas le contenu du débat qui a marqué les téléspectateurs iraniens, mais le style des interventions. Les invités n’ont jamais prononcé les mots tabous tels "sexe" et "pornographie", mais ils ont longuement parlé de « S »« E »« X » ou encore de la « P »« O »« R »« N » etc...!
Personne n’a donc rien compris et c’était apparament très drôle. Drôle certes mais pas surprenant pour un régime qui parle de « mariage temporaire » pour parler de la prostitution -sic-. Récemment, pour évoquer les films oscarisables en 2009, les journalistes du régime sont tombés sur un os : comment traduire « Sex and the city » ? « Le genre et la ville »... Rien à voir quoi !
(En photo : Ahmadinejad le coquin et deux jeunes homos pendus sur la place publique... Parcequ'homos !)