Que dit "le code de la Bible" sur Obama, l'Iran et Israël
Tout le monde à déjà entendu parler au moins une fois du Code de la Bible (la photo ci contre représente le livre qui l'a fait connaître). Pour ceux qui ne connaissent pas, je vous invite à faire un petit tour sur le web. Vous y trouverez toutes sortes d'affirmations et de négations sur ce sujet. Il n'en reste pas moins, qu'à ce jour, plus de 350 mathématiciens se sont penchés sur le sujet pour tenter de le décrédibiliser... Et que pas un seul n'a pu arriver à la conclusion: "cela ne fonctionne pas". Ainsi, que l'on reste perplexe ou non devant pareil trouvaille, j'ai décidé aujourd'hui de publier un article paru sur le site Géopolitique Biblique qui vient de publier une recherche sur Obama, l'Iran et Israël. Statistiquement parlant, en voyant le nombre de "mots" présents dans la même "matrice", on peut parler d'un taux de 1 pour 500 millions (de chance de retrouver tous ces mots au même endroit).
J'ai du me faire violence pour me pencher sur Obama dans les codes de la Torah. Je l'ai fait parce que c'est un passage obligé, mais le bonhomme ne m'est guère sympathique. Bush, critiqué, vilipendé, conspué, avait un côté bon enfant, brave gars pas compliqué, qui ne cachait pas son jeu. Attendrissant quelque part, quoi !! Obama est un calculateur, en perpétuelle représentation. Son côté "people" m'exaspère au point de penser que si Reagan, acteur de seconde zone est arrivé à la Maison Blanche, Obama président, a une carrière toute tracée d’acteur, une fois qu'il l'aura quittée. Il est exact que je reste aussi sur sa génuflexion-courbette devant le roi d'Arabie et son Sédér démagogique pour se faire applaudir par la communauté juive américaine. Son usage massif de téléprompteurs sans lesquels il n'arrive pas à aligner deux mots en public renforce son côté comédien qui colle au texte écrit par d’autres
J'avais déjà identifié Barak Obama dans la Torah lorsque j'avais prévu sa victoire sur McCain: Président black.
La seconde étape consistait à l'identifier avec certitude, dans la mesure où il porte le même nom que son père, "Barak Hussein Obama". Ce fut fait en injectant dans sa matrice le nom des membres de sa famille.
Michelle, son épouse, est allongée, à droite de son mari, à peine séparée de lui par une lettre. J'avais déjà remarqué, dans d'autres recherches, que les couples unis ou du moins ceux qui avaient besoin de leur conjoint pour fonctionner efficacement, voyaient leurs noms pratiquement s'imbriquer l'un dans l'autre. Dans le cas des époux Obama, seule la lettre Aléf (valeur numérique 1) les sépare. C'est beau l'amour ! Les deux filles d'Obama, Sacha et Malia, figurent également en bonne place sur la matrice; Sacha, plus proche de ses parents que Malia. Significatif ou pas, je n'en sais rien. Ce qui m'a d'avantage épaté c'est que le nom de ses grands parents maternels, DANHAM, donc le nom de sa grand-mère bien aimée et le nom de jeune fille de sa mère, figure en haut à droite. Conclusion provisoire : Barak, dans le code de la Bible, est entouré des siens, présents et disparus. Bien entendu sur la même matrice figurent "président" et "Kouchi-noir", ce qui ne laisse la place à aucune ambiguité.
Le bonhomme identifié, il fallait passer aux choses sérieuses, avec en filigrane, la question qui nous taraude tous, ou presque: Obama, est-ce bon pour les juifs ?
Première inquiétude: sur la matrice apparaît, à deux reprises, le mot "Iran", dont une fois, pratiquement au dessus de la tête d'Obama. Pour tenter d'appréhender la position d'Obama face à l'Iran, j'ai injecté les mots: "pour, contre, ami, ennemi". Le mot 'Havér, ami, ainsi que Béad, "en faveur de", est attaché à Iran.
Deuxième matrice, dans laquelle j'ai injecté: "Palestinien, Arabe, Israël".
"Palestinien" figure au dessus de "Iran" et "Favorable à" semble s'appliquer aussi bien à l'Iran qu'aux palestiniens.
A gauche d'Obama figurent les mots Aravi, arabe, Oïév, ennemi, et Israël, masqué par le mot "ennemi" en français. Israël, en bas à gauche, est associé au mot Néguéd, "contre ". Qu'est-ce à dire?
Israël ne semble pas être en odeur de sainteté puisque qu'associé au mots "ennemi" et "contre". Pour ce qui est d'Aravi, arabe, deux explications sont possibles. La première: de la même façon qu'Obama est en faveur de l'Iran au point de le considérer comme un ‘havér, un ami, autant l'Aravi, l'arabe, est perçu comme un ennemi, d'autant plus que le mot ennemi Oïév est imbriqué dans le mot "arabe". Cette interprétation s'inscrit dans la logique Talibans-El Quaïda, ennemis de l'Amérique, d'où renfort de troupes, lutte anti terroriste, etc...
Mais il existe une autre interprétation possible et troublante, selon laquelle, le mot "arabe" ne s'applique pas aux Arabes en général mais à Obama en particulier. Dans cette hypothèse, c'est Obama qui serait l'ennemi arabe. Hautement invraisemblable, n'est-ce pas?
J'ai zoomé sur cette fraction de la matrice pour bien dégager l'imbrication du mot "ennemi" dans le mot "arabe", soit l'arabe ennemi, alors qu'Israël est associé à ennemi, ce qui est différent.
En clair, cette analyse rapide, qui m'a pris beaucoup de temps, semble malgré tout conforter certaines tendances peu enthousiasmantes de la diplomatie américaine.
- L'Iran sera considéré comme un partenaire tout à fait acceptable
- Israël, pour le moins, n'a pas la côte, quand il n'est pas perçu comme un ennemi potentiel auquel on s'oppose
- L'Arabe est perçu comme un ennemi auquel il y a lieu de s'opposer, à moins que cette interprétation soit complètement erronée et que l'ennemi arabe d'Israël soit précisément Barak Obama.
A ce stade, l'analyse doit être prise avec des pincettes. Le décodage est long et complexe, donc, pas de conclusions hâtives mais beaucoup de prudence.