Viva Palestina pillé en Egypte !
Après avoir été expulsé de Tunisie, le convoie "d'aide humanitaire destiné aux palestiniens": Viva Palestina, a été pillé en Egypte... Il ne reste presque plus rien de les 120 camions... Le plus rôle c'est que lors des pillages, les égyptiens scandaient des slogans anti-hamas.
Le député trotskyste britannique George Galloway, grand admirateur du Hamas, et grand amateur de slogans du style Stop the Holocaust in Gaza ! a bien du souci. George et ses amis voient bien sûr la main des Israéliens derrière ses actes malveillants. Ce n’est pourtant qu’en transitant par Israël que le convoi à fini par arriver à Gaza…
Dimanche 8 mars, le convoi « Viva Palestina » rebaptisé, « Souad Viva Palestina » en mémoire du journaliste qui les accompagnait et qui est décédé dans un accident de voiture, a atteint la ville Égyptienne d’ AL ARISH, située à 40 kilomètres du point de passage de Rafah.
Mais aujourd’hui, la réalité du blocus rattrape le convoi, le gouvernement égyptien interdit l’accès au barrage. Georges Galloway et les organisateurs du convois ont passé la journée à négocier sans effets. Les autorités égyptiennes posent des conditions pour gagner du temps. En un premier temps elles demandent que le convoi soit divisés sur plusieurs jours, puis que n’entrent pas le camion de pompier, le bateau et d’autres véhicules spécifiques. Et certainement d’autres mauvaises conditions dont on apprendra plus tard le contenu.
Durant ce temps, des centaines d'Egyptiens non armés ont coupés l'électricité dans le camps de repos du convois. Immédiatement, ils ont attaqué une partie du convoi à coup de pierres sans que la police ne réagisse. Ils ont endommagés des véhicules et légèrement blessés des chauffeurs en criant des slogans anti-Hamas. Une grande partie de la nourriture et des vêtements ont étés volés. Selon certaines sources, des armes auraient également étés volés.
Les anti-sionistes accusent déjà Israël d'avoir mis en place une "brigade arabe pro-Israel". Ils accusent même Israël d'avoir déguiser des égyptiens en "faux membres du Fatah"... Enfin... Du grand délire ! D'autant plus que le convois à fini par rentrer à Gaza depuis... Israel!
Alors, on dit merci à qui ?
Le député trotskyste britannique George Galloway, grand admirateur du Hamas, et grand amateur de slogans du style Stop the Holocaust in Gaza ! a bien du souci. George et ses amis voient bien sûr la main des Israéliens derrière ses actes malveillants. Ce n’est pourtant qu’en transitant par Israël que le convoi à fini par arriver à Gaza…
Dimanche 8 mars, le convoi « Viva Palestina » rebaptisé, « Souad Viva Palestina » en mémoire du journaliste qui les accompagnait et qui est décédé dans un accident de voiture, a atteint la ville Égyptienne d’ AL ARISH, située à 40 kilomètres du point de passage de Rafah.
Mais aujourd’hui, la réalité du blocus rattrape le convoi, le gouvernement égyptien interdit l’accès au barrage. Georges Galloway et les organisateurs du convois ont passé la journée à négocier sans effets. Les autorités égyptiennes posent des conditions pour gagner du temps. En un premier temps elles demandent que le convoi soit divisés sur plusieurs jours, puis que n’entrent pas le camion de pompier, le bateau et d’autres véhicules spécifiques. Et certainement d’autres mauvaises conditions dont on apprendra plus tard le contenu.
Durant ce temps, des centaines d'Egyptiens non armés ont coupés l'électricité dans le camps de repos du convois. Immédiatement, ils ont attaqué une partie du convoi à coup de pierres sans que la police ne réagisse. Ils ont endommagés des véhicules et légèrement blessés des chauffeurs en criant des slogans anti-Hamas. Une grande partie de la nourriture et des vêtements ont étés volés. Selon certaines sources, des armes auraient également étés volés.
Les anti-sionistes accusent déjà Israël d'avoir mis en place une "brigade arabe pro-Israel". Ils accusent même Israël d'avoir déguiser des égyptiens en "faux membres du Fatah"... Enfin... Du grand délire ! D'autant plus que le convois à fini par rentrer à Gaza depuis... Israel!
Alors, on dit merci à qui ?