Chavez éteint la radio... La dictature prend de l'assurance !
La radio de Caracas CNB continue à informer sur Internet malgré la décision du gouvernement de fermer la station comme 33 autres qui, selon Hugo Chavez, "ne possédaient plus les conditions légales pour émettre" rapporte l'hebdomadaire colombien Semana. Du coté des radios affectées par cette mesure, on interprète cette décision comme une rétorsion à l'encontre de lignes éditoriales trop critiques envers le gouvernement. Quelques unes d'entre elles ont donc décidé de continuer à fonctionner sur Internet pour protester.
Depuis qu'elle a repris sa diffusion sur la Toile, CNB a multiplié sa fréquentation par dix. Les radios interdites d'antenne préparent actuellement un recours devant la Cour suprême, tout en repensant une gestion plus économique de leurs stations. Le gouvernement a également annoncé, le 14 août, la fermeture problable de la chaine de télévison privée Globovision, connue pour son programme "Aló" ouvertement critique envers le chef de l'Etat.
Depuis qu'elle a repris sa diffusion sur la Toile, CNB a multiplié sa fréquentation par dix. Les radios interdites d'antenne préparent actuellement un recours devant la Cour suprême, tout en repensant une gestion plus économique de leurs stations. Le gouvernement a également annoncé, le 14 août, la fermeture problable de la chaine de télévison privée Globovision, connue pour son programme "Aló" ouvertement critique envers le chef de l'Etat.