Le rapport de l'ONU sur Gaza est écrit par des palestiniens !
Le dernier rapport officiel de l'Organisation des Nations Unies sera particulièrement virulent à l'égard d'Israël. Toute la communauté internationale s'en fera l'écho. Il diabolisera Israël comme au Moyen-Age alors que tout le monde sait qu'Israël n'est pas coupable du dixième des accusations. Mais comment faire ? Comment faire pour aller toujours plus loin ? Si on ne va ps plus loin dans les accusations, les motivations retombent ! Il faut donc aller plus loin et mentir encore plus en accusant ces juifs et ces sionistes qui ont fait de leur désert une oasis de bonheur.
Il faut aller plus loin, faire plus mal. C'est la seule manière de garder le soutien du peuple envers leurs dictateurs. Il faut faire plus mal et puis, après tout, ce ne sont que des juifs, que des israéliens… Pardon, que des sionistes!
Sauf, qu'aujourd'hui, on apprend que ce futur rapport n'a été rédigé que pour une chose: "pour apaiser le conflit qui oppose le monde arabe aux ONG qui contrôles les droits de l'homme dans la bande de Gaza". L'information fait sensation de matin, et c'est Aharon Leshno l'Ambassadeur d'Israël auprès de l'ONU qui a eu le privilège de l'annoncer. Avant d'ajouter "personne ne sait ce qui aurait pu se passer si l'ONU avait décidé délibérément décrire le rapport. En tout cas, en le faisant écrire par des membres du Hamas, l'ONU évite bien des problèmes…"
Dans des interviews avec la presse internationale ou elle résumait son futur discours à la tribune des Nations de genêve, la Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme Navi Pillay, a présenté un rapport sur ce qu'elle a qualifié de "graves violations des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, notamment en raison de récentes attaques militaires israéliennes contre le territoire la bande de Gaza. " Son rapport de 34 pages a été créé à la demande du Conseil des droits de l'homme en session extraordinaire. Le rapport sera présenté au Conseil le 29 Septembre, avec un rapport distinct qui est en cours d'élaboration par le juriste sud-africain Richard Goldstone.