Pour le Liban, le premier problème, c'est la Syrie !

Selon Samy Gemayel, il existe une crise de confiance entre les différentes communautés du pays, qui « ne peut être surmontée que si les appréhensions et les peurs sont évoquées clairement et en toute franchise ».
Il a reconnu l'existence de « foyers sécuritaires » au nord du pays, notamment à Nahr el-Bared et à Denniyé, « contrôlés par des extrémistes musulmans ».
Devant son auditoire, le député a rappelé qu'il ne doit pas y avoir d'autres armes que celles de la légalité, ajoutant que le Hezbollah a résisté contre Israël mais que désormais, le territoire a été libéré. Quant au problème des fermes de Chebaa, il réside à ses yeux dans le refus des autorités syriennes de reconnaître la libanité de ce secteur. « Avant d'entraîner le pays dans de nouvelles guerres contre Israël, le Hezbollah devrait demander à ses alliés syriens de reconnaître la libanité des fermes de Chebaa pour que le Liban puisse confirmer son droit devant les instances internationales, notamment l'ONU, avant de se lancer dans la résistance », a-t-il dit.
Pour Samy Gemayel, le Hezbollah « se cache derrière la résistance pour conserver ses armes et créer une sorte d'autosouveraineté » dans certaines parties du Liban, empêchant ainsi l'État d'y imposer son autorité.
Devant son auditoire, le député a rappelé qu'il ne doit pas y avoir d'autres armes que celles de la légalité, ajoutant que le Hezbollah a résisté contre Israël mais que désormais, le territoire a été libéré. Quant au problème des fermes de Chebaa, il réside à ses yeux dans le refus des autorités syriennes de reconnaître la libanité de ce secteur. « Avant d'entraîner le pays dans de nouvelles guerres contre Israël, le Hezbollah devrait demander à ses alliés syriens de reconnaître la libanité des fermes de Chebaa pour que le Liban puisse confirmer son droit devant les instances internationales, notamment l'ONU, avant de se lancer dans la résistance », a-t-il dit.
Pour Samy Gemayel, le Hezbollah « se cache derrière la résistance pour conserver ses armes et créer une sorte d'autosouveraineté » dans certaines parties du Liban, empêchant ainsi l'État d'y imposer son autorité.