Léger réchauffement des relations américano-israéliennes
Faut-il que la France et Israël se fâche pour que les Etats-Unis refassent un pas en avant? SI la réponse n'est pas certaine, en tout cas, le réchauffement des rapports américano-israéliens et réel... Pour l'instant en tout cas!
Ainsi, l'émissaire américain pour le Proche-Orient George Mitchell a eu hier soir à New York des entretiens "constructifs" avec le ministre israélien de la Défense Ehud Barak. "Les discussions ont jusque là été bonnes et constructives", a indiqué Kelly (porte parole).
Cet entretien "fait partie de notre dialogue, des efforts du sénateur Mitchell pour relancer les négociations, mais nous ne nous attendons pas à une annonce spectaculaire aujourd'hui". Avant le début de la réunion, Mitchell et Barak ont posé, souriants, face aux photographes. Interrogés pour savoir si leurs sourires signifiaient qu'ils étaient proches d'un accord, Barak a répondu: "ça signifie que sourire ne coûte rien". "Nous sommes optimistes, comme tous les jours". "Ceci dit, a t-il ajouté, nos relations sont excellentes."
Alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu refuse d'arrêter totalement la construction naturelle dans les points de peuplements de Judée et de Samarie, le département d'Etat américain n'a pas écarté la possibilité d'un compromis avec Israël sur un gel temporaire des constructions. "Nous travaillons avec toutes les parties pour tenter de créer les conditions propices à une reprise des négociations", a déclaré le porte-parole du département d'Etat, Ian Kelly.
Ainsi, l'émissaire américain pour le Proche-Orient George Mitchell a eu hier soir à New York des entretiens "constructifs" avec le ministre israélien de la Défense Ehud Barak. "Les discussions ont jusque là été bonnes et constructives", a indiqué Kelly (porte parole).
Cet entretien "fait partie de notre dialogue, des efforts du sénateur Mitchell pour relancer les négociations, mais nous ne nous attendons pas à une annonce spectaculaire aujourd'hui". Avant le début de la réunion, Mitchell et Barak ont posé, souriants, face aux photographes. Interrogés pour savoir si leurs sourires signifiaient qu'ils étaient proches d'un accord, Barak a répondu: "ça signifie que sourire ne coûte rien". "Nous sommes optimistes, comme tous les jours". "Ceci dit, a t-il ajouté, nos relations sont excellentes."
Alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu refuse d'arrêter totalement la construction naturelle dans les points de peuplements de Judée et de Samarie, le département d'Etat américain n'a pas écarté la possibilité d'un compromis avec Israël sur un gel temporaire des constructions. "Nous travaillons avec toutes les parties pour tenter de créer les conditions propices à une reprise des négociations", a déclaré le porte-parole du département d'Etat, Ian Kelly.