Le Vatican cherche à déminer le terrain avant la visite papale

Publié le par JSS

A quelques jours du voyage de Benoît XVI en Terre sainte, le représentant du Vatican en Israël s'est efforcé ces derniers jours de minimiser trois sujets sensibles qui pourraient gâcher la visite papale: l'attitude de Pie XII face à la Shoah, le retour en grâce d'une prière appelant à la conversion des juifs et la récente affaire Richard Williamson.
Lors d'une conférence de presse à Jérusalem, le nonce apostolique en Israël, Antonio Franco, a cherché lundi à déminer les sujets de polémique susceptibles de ternir la visite du souverain pontife. Il a expliqué qu'une commission mixte juifs-catholiques planchait sur la controverse liée à l'attitude du pape Pie XII durant la Seconde Guerre mondiale, face à la Shoah. Une question qui empoisonne les relations entre juifs et catholiques. "Nous améliorons la vision et la compréhension d'une période très difficile de l'histoire", a assuré Mgr. Franco. Et de prédire: "Ce ne sera certainement pas un sujet de discussion" durant la visite du pape.
Le rabbin David Rosen, une des voix les plus écoutées en Israël sur le dialogue interreligieux, a un avis différent: "Je ne serais pas surpris" que la question soit abordée, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse séparée. Décrivant Benoît XVI comme un ami des juifs, il a affirmé que les divergences de vues entre le pape et les juifs portaient plus sur la forme que sur le fond. Au sujet de Pie XII, il semble pourtant que le fossé entre les deux parties est important. Au musée de l'Holocauste de Yad Vashem, à Jérusalem, une légende sous une photo de ce pape explique qu'il n'a pas protesté lorsque les Nazis ont raflé les juifs à travers l'Europe pour les envoyer vers les camps de la mort.

De son côté, Benoît XVI a décrit Pie XII comme un "grand" homme d'Eglise, le Vatican affirmant qu'il avait mené une diplomatie discrète pour tenter d'aider les juifs. En septembre dernier, le pape avait loué son "courage" et son "dévouement paternel" pour essayer de sauver les juifs. Certains au sein de l'Eglise demandent la béatification de Pie XII, perspective qui suscite une forte opposition chez les juifs.

"Ce n'est pas l'affaire des juifs de dire à l'Eglise catholique qui sont ses saints", précise M. Rosen, qui dirige le département des affaires interreligieuses du Comité juif américain. Toutefois la béatification de Pie XII "serait vue comme une sorte de dissimulation de la période de la Shoah", prévient-il.

Deux sujets plus récents ont également créé des tensions: en janvier, le pape a levé l'excommunication de quatre évêques intégristes membres de la Fraternité Saint-Pie X, dont celle de Richard Williamson, un prélat niant l'existence des chambres à gaz et qui juste avant sa réintégration dans l'Eglise avait réitéré ses opinions négationnistes.

Ces déclarations négationnistes de Mgr Williamson, ont constitué "un incident fâcheux imprévisible", a fini par reconnaître Benoît XVI dans une lettre publiée en mars.

Par ailleurs, la décision papale, en 2007, d'assouplir les restrictions sur la messe en latin a également fait polémique en rétablissant une prière appelant à la conversion des juifs récitée durant la semaine pascale. Mgr. Franco a toutefois assuré lundi que ces deux sujets de friction étaient désormais écartés.

Israël et le Vatican ont établi des relations diplomatiques au début des années 1990, mais doivent encore régler certaines questions comme le statut des biens de l'Eglise en Terre sainte et les exonérations fiscales pour l'Eglise.

Mgr Franco et M. Rosen ont démenti lundi que la décision de Benoît XVI de ne pas visiter Yad Vashem était liée à la controverse sur Pie XII. Comme la plupart des dignitaires en visite en Israël, il déposera une gerbe au mémorial de Yad Vashem, où il doit rencontrer des survivants des camps de la mort.

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G
(Suite) Pourquoi ?<br /> Parce que le contrôle de toute la Vieille Ville de Jérusalem (et pas seulement des propriétés de l'église) et le droit de bâtir où bon leur semble sur le Mont Sion est indispensable pour le programme qu'ils ont planifié dans notre capitale. Cet accord qu'ils ont signé avec Israël par l'intermédiaire de Yossi Beilin et Shimon Peres (en secret et sans l'accord du parlement israélien, la Knesset) donne à l'Eglise non seulement le statut d’extraterritorialité pour leurs biens (ce qui a été légalisé par l'Accord Bilatéral que le gouvernement israélien a signé avec le Vatican le 30 décembre 1993) mais le contrôle sur toute la ville en tant que "gardiens" avec la présence de l'ONU. De cette manière les Juifs abandonneront leur contrôle de la Vieille Ville. Les Israéliens pourraient se poser des questions avec ce qui concerne le Vatican, mais concernant les Nations unies ils diront : "nous n'avions pas le choix".<br /> Voici une chronologie de la tentative du Vatican de s’emparer de  la Vieille Ville de Jérusalem au détriment d’Israël :<br /> La chronologie des événements pour la conquête de la Vieille Ville de Jérusalem par le Vatican s'est déroulée selon ce qui suit, et vous pouvez le vérifier en consultant les sources d'information.<br /> octobre 1991- le 12 octobre, le Président du Congrès Juif Mondial, Edgar Bronfman, est nommé à la tête du Comité juif International de Consultations inter-religieuses pour diriger des négociations officielles entre le Vatican et l'État d'Israël.<br /> Mars 1992 - le 17 mars, le maire de Jérusalem Teddy Kollek dit : "le gouvernement israélien devrait donner son accord à la requête du Vatican d'appliquer un statut spécial à Jérusalem".<br /> Avril 1992 - le 1er avril, le Vatican annonce qu'il est en faveur d'une victoire du parti travailliste aux élections israéliennes prévues pour juin 1992. Le 15 avril, le Cardinal Joseph Ratzinger, l'un des diplomates les plus importants du Vatican, visite Israël pour la première fois mais rencontre uniquement le maire de Jérusalem Teddy Kollek.<br /> Juin 1992 - l'histoire de la tentative de l'Eglise Catholique d'évincer les Juifs de la Vieille Ville de Jérusalem commence en juillet 1992. Selon l'information disponible sur le site web du Ministère des Affaires Etrangères, dès le moment où le nouveau Gouvernement Travailliste dirigé par Rabin a succédé à Itzhak Shamir du Likoud vaincu, des échanges secrets entre le Vatican et l'État d'Israël commencèrent. Qu'est-ce qui a précipité ces échanges secrets ? Qui a arrangé ces échanges et pourquoi ? Pourquoi le public israélien n’en fut-il pas informé ? Quel a été le résultat de ces accords ? Où en sont-ils aujourd'hui ? L'histoire complète des relations bilatérales entre Israël et le Vatican est intentionnellement verrouillée par le secret. Ce n'est donc pas étonnant que personne en Israël ne possède d’informations sur les relations entre le Vatican et Israël puisqu'on n'en parle jamais, mais vraiment jamais dans la presse israélienne.<br /> L'histoire officielle des origines du canal secret de contacts entre l'équipe de négociateurs de Beilin et le Vatican commence avec Shlomo Gur, un assistant personnel de Yossi Beilin, qui connaissait quelqu'un qui l’avait mis en contact avec le Père David Jaeger. Le père David Jaeger était le Président de la Cour Catholique à Austin, au Texas et avait été élevé comme un Israélien juif orthodoxe ; converti par la suite au catholicisme il était devenu prêtre (cela n'arrive pas à beaucoup d'Israéliens élevés comme Juifs orthodoxes !). À partir de juillet 1992, selon l'information du site web du Ministère des Affaires Etrangers israéliens, juste après la formation du nouveau Gouvernement Rabin, rien ne filtre des négociations jusqu'à l'accord final signé le 30 décembre 1993. Rien dans la presse israélienne. Les renseignements sur l'accord réel signé étaient très succins et ne donnaient que des généralités. C'est probablement une des négociations politiques les plus importantes d'Israël avec une structure de pouvoir, cependant la presse n'en parle pas. Aucun israélien n'est au courant. Ainsi le secret a été bien gardé.<br /> Novembre 1992 - le document qui a été utilisé comme base idéologique sous-jacente pour l'accord secret du Vatican avec Yossi Beilin et Shimon Peres a été personnellement conçu par Beilin. "L'Illégitimité de la souveraineté israélienne sur Jérusalem" écarte tout programme du gouvernement israélien pour l'avenir de Jérusalem et appelle à la division de la Vieille Ville en cantons dont les postes frontière seront contrôlés par l'ONU.<br /> Le plan qui a abouti à l'accord de décembre 1993 entre le Vatican et l'État d'Israël a été négocié à l'origine en novembre 1992 exactement au même moment que les premières rencontres prirent place à Londres pour discuter d'un accord entre Israël et l'OLP, qui aboutirent aux accords d'Oslo. L'objectif réel était la tentative du Vatican de prendre le contrôle de la Vieille Ville de Jérusalem. Oslo, où "la paix entre les Israéliens et les palestiniens" a été juste une bonne couverture pour cacher ce qui se tramait dans une autre sphère des Affaires Etrangères israéliennes.<br /> Septembre 1993 - le 10 septembre seulement trois jours avant la signature des accords d'Oslo à Washington, le journal italien La Stampa a rapporté que le Ministre des Affaires Etrangères Shimon Peres avait conclu un accord secret avec le Vatican pour transférer la souveraineté de la Vieille Ville de Jérusalem à celui-ci. L'accord fut inclu dans les clauses secrètes de la Déclaration de Principes signée le 13 septembre 1993 à Washington. Cette même semaine, au cours de laquelle le Ministre des Affaires Etrangères et architecte des accords d'Oslo, Shimon Peres, signait la Déclaration de Principes avec Yasser Arafat à Washington, avait lieu une rencontre spéciale en Israël de la Commission Israël-Vatican. Selon l'accord du Vatican, les Israéliens devaient transférer le contrôle de la Vieille Ville au Vatican avant l'année 2000. Ce plan était aussi un appel pour que Jérusalem devienne le second Vatican du monde avec les trois grandes religions représentées mais sous le contrôle de l'autorité du Vatican. Jérusalem devait rester la capitale d'Israël mais la Vieille Ville serait administrée par le Vatican.<br /> Arafat donna son accord au plan juste avant la fameuse poignée de mains en 1993, mais quand il se rendit compte que le Vatican allait aussi partager le Mont du Temple avec Israël, il l'a rejeté. (Pour obtenir qu'Arafat et les Palestiniens soient partie prenante de l'accord, le 14 février 2000, le président de l'Autorité Palestinienne a signé un accord avec le Vatican reconnaissant les revendications des Palestiniens sur Jérusalem Est et le droit à un État. Le déclenchement de l'Intifada "d'El Asqa" sept mois après que cet accord eut été signé peut avoir fait partie de l'engagement qu'Arafat avait donné au Vatican, quant à ce qu'il ferait en échange de la reconnaissance du Vatican sur les revendications des Palestiniens à Jérusalem-Est et sur leur droit à un État. La violence au Proche-Orient sert l'intérêt de l'Eglise Catholique spécialement si Jérusalem est l'objet des discussions. Avec Arafat obtenant les garanties du Vatican que quoi qu'il fasse, les Européens de l'abandonneraient pas, alors cela avait un sens pour lui de déclarer la guerre à Israël en septembre 2000. L'idée que "Barak lui a tout donné à Camp David" est de la propagande. Rien ne lui a été proposé que la Knesset aurait pu approuver. L'intifada n'a pu être déclenchée que parce qu'Arafat avait obtenu des assurances de la plupart des puissances européennes pour sa survie.<br /> Les accords de février 2000 auraient eu beaucoup plus de sens s’ils avaient eu lieu trois ou quatre ans avant. Cependant le timing de son déclenchement fait que l'intifada de Septembre 2000 semble logique dans la perspective d'Arafat.<br /> Novembre 1993 - Kol Ha hir, l'hebdomadaire de Jérusalem a révélé que : "durant les six derniers mois, le Gouvernement israélien a été conseillé sur le futur de J&eacut
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G
<br /> L’Agenda du Vatican, Joel Bainerman<br /> <br /> <br /> Comm : je ne sais quoi penser de cet article, qui, tout d'abord, m'a paru gros comme le IIIè Temple. Je ne sais s'il faut y renifler une quelconque "théorie du complot", ou si chaque fait énoncé est seulement vérifiable, en remontant aux sources disponibles.  Il sonne juste et les faits se recoupent, hormis les deals secrets dont on ne peut rien savoir. S'il ne s'agissait que d'un pastiche en guise d'avertissement,  une sorte de théological-fiction, il est toujours bon à prendre pour y regarder de plus près, dans ces "rapprochements" qui enjambent allègrement les polémiques séculaires, dont quelques-unes fondamentales et toujours irrésolues. Il faut donc avancer avec prudence, concernant ce texte pour le moins "sulfureux"...Néanmoins, pour info lui portant crédit, je vous communique le lien du site de Joël Bainerman, qui est un journaliste d'investigation on ne peut plus sérieux, sur des sujets de premier plan :<br /> http://www.joelbainerman.com/<br /> L’Agenda du Vatican<br /> par Joel Bainerman - traduit par Danielle Elinor Guez<br /> <br /> mardi 5 mai 2009<br /> <br /> Les Israéliens n’ont probablement jamais beaucoup réfléchi à ce que l’Eglise Romaine Catholique, le Vatican, pense au sujet de la Théologie de la Fin des Temps. Les juifs eux, n’accordent pas trop d’importance à ce qui va se passer quand les événements de Gog et Magog arriveront. Les Juifs ne font pas trop de spéculations sur "le monde à venir" mais sont plutôt fermement implantés dans la réalité, ce qui est bien.<br /> <br /> <br /> Cependant ce qui est important ce n’est pas ce que les Juifs pensent mais ce que Vatican croit et pourquoi il le croit. Le judaïsme et la pensée juive moderne écartent simplement les principes de base du catholicisme et ne daignent même pas aborder  les principes qui fondent "les réclamations théologiques Catholiques".<br /> Au lieu de nous intéresser sérieusement à ces croyances, nous avons tendance à la moquerie quand nous voyons ces images de rituels obscurs et de cérémonies et nous pensons que toute cette religion est proche du paganisme avec "ses hosties saintes" et "son aspergement d'eau bénite" sur la tête des gens. L'important ce n'est pas cela mais ce que les Catholiques croient et ce qu'ils planifient de faire pour que leurs croyances deviennent une réalité.<br /> Les Israéliens et les Juifs ne comprennent pas l’Institution du Vatican. L'opinion communément admise transmise par les porte-parole israéliens du gouvernement et par les médias israéliens est que : "les deux partenaires sont animées d’intentions très positives". Quant aux affaires bilatérales, les médias israéliens ne s’y intéressent pas beaucoup. Ainsi une transaction secrète pourrait être faite entre le Vatican et l'Etat d’Israël sans que personne en Israël ne le découvre jamais.<br /> En fait c'est exactement ce qu'est en train de se passer.<br /> Cet essai veut vous informer sur le contexte de cette transaction, aussi bien que sur les intentions du Vatican concernant Israël et la Vieille Ville de Jérusalem. Il révèle quels sont les politiciens israéliens qui ont pris certains engagements vis-à-vis du Vatican à propos du problème de la souveraineté de la Vieille Ville de Jérusalem. Ces négociations et ces rencontres ont toutes été effectuées dans le secret. Pendant la période de1992 à l995, les Accords d'Oslo retenaient toute l'attention du public. Oslo à jeté de la poudre aux yeux, mais les vrais enjeux avaient lieu avec le Vatican. Oslo semble être juste une couverture, ou si vous voulez une diversion.<br /> Que veut le Vatican ?<br /> L'intérêt du Vatican ne se limite pas à l'accès de ses Lieux saints à Jérusalem. Conformément à la loi israélienne, il existe déjà un statut juridique et légal pour les institutions et actifs du Vatican à Jérusalem. En plus quand ces lieux saints étaient sous la juridiction des Jordaniens de l948 à l967, aucun Pape n'a exigé "l'internationalisation de Jérusalem".<br /> Le Vatican veut quelque chose d'autre. L'Église Catholique Romaine a besoin qu'une certaine version des événements joue en sa faveur pour pouvoir proclamer devant l'humanité : "notre Messie est revenu". Bien sûr pour les Juifs, ce Messie sera aussi faux que le premier l'a été. C'est important. C'est le but du Vatican et c'est de quoi tous les Israéliens devraient s'inquiéter.<br /> La version des événements par le Vatican :<br /> il s'agit d'une force très puissante qui a l'intention de prendre le contrôle de la Vieille Ville de Jérusalem, alors il vaut mieux que vous sachiez pourquoi et comment le Vatican a l'intention de procéder. Une fois que vous aurez tous les faits ainsi que leur chronologie, vous posséderez davantage d’informations pour traiter de cette question de la volonté de contrôle étranger sur l'existence politique d'Israël et sur son destin.<br /> D'abord vous devez prendre conscience que pendant des siècles le Vatican a essayé d'obtenir le contrôle de Jérusalem et que cela a commencé avec les Croisades. De leur point de vue, pour convaincre le monde que le Messie qu'ils mettent en scène sera le véritable Messie, ils ont besoin que cela se passe dans la Vieille Ville. L'histoire de cette production c’est que ce "Messie" fera une fusion des trois religions monothéistes, fera régner la paix et l'harmonie dans le monde et résoudra le conflit du Moyen-Orient. L'emplacement pour cette "production" ne peut avoir lieu nulle part ailleurs que dans la Vieille Ville de Jérusalem.<br /> On proclamera un soi-disant Messie qui sera un faux messie mais qui insistera pour mettre en place un gouvernement mondial (les Nations unies) pour conduire à la paix mondiale et à l'harmonie. Cela sera un mensonge, une fraude mais ça ne fait rien. Dans notre monde la réalité n'est pas importante. Les perceptions du public le sont. Le résultat final est la dépossession de la souveraineté d'Israël en tant que nation indépendante, donnant place à un bloc régional de nations au Proche-Orient. Israël subira des pressions pour accepter ces demandes par tous les organismes mondiaux et les superpuissances avec l'argument que "c'est la seule façon de résoudre le conflit du Proche-Orient".  Pour que les juifs soient d'accord, il faut les convaincre que puisque le Messie est apparu pour les Juifs, il est temps de reconstruire le troisième Temple, celui qu'ils appellent le Temple de Salomon. Cette version des événements est largement disponible à travers une simple recherche sur Internet car il y a beaucoup d'organisation et de groupes chrétiens (dont la majorité est très pro-Israël) qui désapprouvent ces croyances. Je n'ai pas inventé cette théorie, j'essaie juste de la porter à la connaissance du public israélien.<br /> Ne vous méprenez pas, la Vieille Ville de Jérusalem ainsi que la plus grande partie de la ville orientale, voilà ce que veut le Vatican.<br /> Pourquoi ?<br /> Parce que le contrôle de toute la Vieille Ville de Jérusalem (et pas seulement des propriétés de l'église) et le droit de bâtir où bon leur semble sur le Mont Sion est indispensable pour le programme qu'ils ont planifié dans notre capitale. Cet accord qu'ils ont signé avec Israël par l'intermédiaire de Yossi Beilin et Shimon Peres (en secret et sans l'accord du parlement israélien, la Knesset) donne à l'Eglise non seulement le statut d’extraterritorialité pour leurs biens (ce qui a été légalisé par l'Accord Bilatéral que le gouvernement israélien a signé avec le Vatican le 30 décembre 1993) mais le contrôle sur toute la ville en tant que "gardiens" avec la présence de l'ONU. De cette manière les Juifs abandonneront leur contrôle de la Vieille Ville. Les Israéliens pourraient se poser des questions avec ce qui concerne le Vatican, mais concernant les Nations u
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