Le portrait de Shalit arraché de la mairie de Marseille
A noter: Il à été posé hier (le 19 février)... Et à été arraché ce matin!
Dans un premier temps, voici le communiqué du KKL concernant l'affichage du portrait de Gilad Shalit à la mairie de Marseille (communiqué du 19 février 2009):
"Après Paris, Lourdes, Nice & Grenoble c’est maintenant la ville de Marseille qui prend part au combat pour la libération de Guilad Shalit et ce, grâce à l’intervention conjuguée de Karnit Goldvasser (la maman du défunt Ehoud, enlevé, torturé et tué par le Hezbollah à l'été 2006) et du Keren Kayemeth LeIsraël (KKL).
Il y a deux ans déjà, le KKL avait invité les parents de Guilad Shalit en France, ils avaient alors été reçus par les plus hautes autorités de l’Etat Français. Désormais toutes les villes de France devraient se mobiliser pour l’affichage du portrait de Guilad sur le fronton de leur mairie , il est le dernier otage français encore en captivité et ce depuis 959 jours.
Marseille est une ville ouverte sur le monde ou cohabitent de nombreuses communautés. Ville solidaire et généreuse elle montre l’exemple."
A présent, voici un article scandaleux rédigés par des personnes (le mouvement politique Euro-Palestine) haineuses qui soutiennent le fait que le portrait du jeune homme ait été arraché de la mairie marseillaise (communiqué du 20 février) et qui approuvent les méthodes des terroristes du Hamas et du Hezbollah:
"Le portrait de Gilad Shalit a tenu moins d’une journée sur la façade de la Mairie du 8ème arrondissement de Marseille. Le soldat de l’armée d’occupation israélienne n’a pas résisté à la colère des manifestants. Le site sioniste "Guysen International News" est fort contrarié. Il annonce ce soir : "un portrait de Guilad Shalit a été enlevé du fronton de la mairie du 8ème arrondissement de Marseille, à la suite de violentes manifestations pro palestiniennes. Un reporter de Guysen a été pris à parti et menacé par les manifestants." On signale aux amateurs qu’il y en a également un devant la Mairie du 16ème arrondissement de Paris, dirigée par le sioniste de choc Claude Goasguen, et un autre dans le Parc de Bercy, où l’"otage" israélien a dû être remis en place à maintes reprises par la Mairie de Paris, après avoir essuyé quelques affronts."
Ma consternation à la lecture de ce second article m'empêche de réagir à chaud. Je suis certain que vous me comprendrez.