Mossad: L'affaire Al Jarrah...
Légendaire, son nom figure aujourd’hui sur le monument de grès sculpté en forme de cerveau et construit au sein de la caserne de Tsomet Glilot, le quartier-général du Mossad, au nord de Tel Aviv. Chaque future recrue du Bureau passe devant cet immense encéphalogramme rappelant les différentes devises du Bureau : « par la ruse tu feras la guerre », et « par l’abondance de renseignements, tu triompheras ».
Quatre décennies plus tard, une nouvelle figure marche dans le sillon d’Eli Cohen. Mais ce héros moderne n’est pas Israélien, bien qu’un passeport factice ait été publié à son nom. Il n’est pas Juif ; de nationalité libanaise, il prie Allah chaque vendredi. Pendant vingt-six ans, cet homme aux cheveux blancs, à l’allure sportive et au sourire calme a été la meilleure source à laquelle ait jamais eu accès Israël.
Flash-back : à l’automne 2008, les forces de sécurité libanaises annoncent la capture d’un agent de tout premier ordre. Les informations sortent au compte-goutte mais son nom fait le tour du monde arabe : Ali al-Jarrah.
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