Le Maroc et la singularité de la destinée juive
Le grand amphithéâtre Jean Moulin de l'Institut des Sciences Politiques à Paris était, jeudi soir, à l'heure marocaine dans le cadre d'un débat exceptionnel sur la singularité de la destinée juive dans le monde arabe.
"Le Maroc était déjà au centre et à l'origine du groupe Identité et Dialogue quand nous l'avons créé à Paris en 1973 et c'est un grand bonheur de me retrouver ce soir, 36 ans plus tard, au milieu de quelques centaines de jeunes étudiants, juifs et musulmans vivant en France, réunis pour prendre le relais et poursuivre ce combat pour la dignité partagée et la fidélité à la mémoire", a déclaré M. André Azoulay, Conseiller de SM le Roi et Président de la Fondation Anna Lindh.
S'exprimant à l'invitation conjointe de l'Association Sciences Po pour le Monde Arabe et de l'Union des Etudiants Juifs de France (Sciences Po), M. Azoulay s'est félicité de cette initiative à "deux voix pour dire la même exigence de fidélité et de vérité exprimant sans frilosité et sans complaisance nos histoires mêlées et notre engagement pour une paix en Palestine et en Israël où les mots dignité et justice doivent se conjuguer de la même façon pour tous".
Après avoir retracé et analysé les grandes étapes de l'histoire et de la saga du judaïsme marocain, le Conseiller de SM le Roi a répondu aux nombreuses questions de la salle en mettant en relief "la profondeur et la permanence du consensus national marocain nourri par une identité et une culture de l'altérité forgées par l'addition de toutes nos sensibilités et de toutes nos spiritualités".
Outre M. Azoulay, sont notamment intervenus dans ce débat Youssef Seddik, philosophe et anthropologue tunisien, spécialiste de l'anthropologie du Coran, Benjamin Stora, historien, spécialiste de l'Algérie, Khadija Mohsen-Finan, directrice du pôle Maghreb à l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI), Michel Abitbol, historien et orientaliste, spécialiste des relations judéo-arabes et Ghaleb Bencheikh, physicien, présentateur de l'émission Islam sur France 2.
Source: Bled.ma
"Le Maroc était déjà au centre et à l'origine du groupe Identité et Dialogue quand nous l'avons créé à Paris en 1973 et c'est un grand bonheur de me retrouver ce soir, 36 ans plus tard, au milieu de quelques centaines de jeunes étudiants, juifs et musulmans vivant en France, réunis pour prendre le relais et poursuivre ce combat pour la dignité partagée et la fidélité à la mémoire", a déclaré M. André Azoulay, Conseiller de SM le Roi et Président de la Fondation Anna Lindh.
S'exprimant à l'invitation conjointe de l'Association Sciences Po pour le Monde Arabe et de l'Union des Etudiants Juifs de France (Sciences Po), M. Azoulay s'est félicité de cette initiative à "deux voix pour dire la même exigence de fidélité et de vérité exprimant sans frilosité et sans complaisance nos histoires mêlées et notre engagement pour une paix en Palestine et en Israël où les mots dignité et justice doivent se conjuguer de la même façon pour tous".
Après avoir retracé et analysé les grandes étapes de l'histoire et de la saga du judaïsme marocain, le Conseiller de SM le Roi a répondu aux nombreuses questions de la salle en mettant en relief "la profondeur et la permanence du consensus national marocain nourri par une identité et une culture de l'altérité forgées par l'addition de toutes nos sensibilités et de toutes nos spiritualités".
Outre M. Azoulay, sont notamment intervenus dans ce débat Youssef Seddik, philosophe et anthropologue tunisien, spécialiste de l'anthropologie du Coran, Benjamin Stora, historien, spécialiste de l'Algérie, Khadija Mohsen-Finan, directrice du pôle Maghreb à l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI), Michel Abitbol, historien et orientaliste, spécialiste des relations judéo-arabes et Ghaleb Bencheikh, physicien, présentateur de l'émission Islam sur France 2.
Source: Bled.ma