Danny Ayalon: "nous pouvons frapper l'Iran"
Israël n'exclut pas l'éventualité d'une frappe militaire contre l'Iran suite au refus de ce dernier de mettre en veilleuse son programme nucléaire... C'est ce que vient d'annoncer Danny Ayalon ! Il commentait les propos du président russe Dmitri Medvedev qui, dans un entretien accordé dimanche à la CNN a cité son homologue israélien Shimon Peres. Selon le pantin de Poutine, le leader israélien aurait déclaré lors d'une récente visite à Sotchi qu'"Israël n'a aucun plan visant à porter une frappe contre l'Iran, nous sommes un pays épris de paix et nous ne le ferons pas". Interrogé sur la question de savoir si les paroles de Peres excluaient toute frappe d'Israël contre l'Iran, Ayalon a dit: "Non, ce n'est aucunement une garantie. Avec tout mon respect, je ne pense pas que le président russe soit compétent pour s'exprimer au nom d'Israël et nous n'écartons évidemment aucune possibilité (dans nos actions contre l'Iran)." Les propos d'Ayalon ont été confirmés par le chef d'Etat-major israélien Gaby Ashkenazi: "Israël a droit à l'autodéfense et toutes les variantes sont envisagées".
Dans son entretien à la chaîne CNN, le leader russe a exprimé l'espoir qu'Israël ne ferait pas appel à la force pour régler le problème nucléaire iranien. Selon Medvedev, ce serait le pire qu'on puisse imaginer. Le président russe estime qu'il faut au lieu de cela "pousser l'Iran à coopérer". Pour cela, il faudrait peut-être que la Russie de ce cher Medvdedv cesse d'aider l'Iran à construire sa sombe atomique et ses armes de destructions ciblées et massives.
Exposant les démarches russes au cas où cette frappe se produirait, Medvedev a souligné que Moscou ne soutiendrait aucune des parties. Il a également averti qu'une guerre contre l'Iran serait "une catastrophe humanitaire" qui entraînerait "une immense quantité de réfugiés, un désir de vengeance de Téhéran et des évolutions absolument imprévisibles dans la région".
Dans son entretien à la chaîne CNN, le leader russe a exprimé l'espoir qu'Israël ne ferait pas appel à la force pour régler le problème nucléaire iranien. Selon Medvedev, ce serait le pire qu'on puisse imaginer. Le président russe estime qu'il faut au lieu de cela "pousser l'Iran à coopérer". Pour cela, il faudrait peut-être que la Russie de ce cher Medvdedv cesse d'aider l'Iran à construire sa sombe atomique et ses armes de destructions ciblées et massives.
Exposant les démarches russes au cas où cette frappe se produirait, Medvedev a souligné que Moscou ne soutiendrait aucune des parties. Il a également averti qu'une guerre contre l'Iran serait "une catastrophe humanitaire" qui entraînerait "une immense quantité de réfugiés, un désir de vengeance de Téhéran et des évolutions absolument imprévisibles dans la région".