Plaidoyer d'un comédien américain
Chers lecteurs,
Je viens de retrouver ce texte d'un comédien américain. C'est un plaidoyer en faveur d'Israel. Un long monologue que j'aimerais vous faire partager. D'après ma mémoire, il remonte à 2002/2003... Dennis Miller est Dennis Miller est un acteur, producteur et scénariste américain. Pour ceux qui comprennent l'anglais, je vous invite chaleureusement à écouter sa web-radio en cliquant ici.
"Les Palestiniens veulent leur pays à eux. Mais, attendez, il y a juste un truc, ce qu’il n’y a pas de Palestiniens. C’est fait avec des mots. Israël a été appelé Palestine pendant 2000 ans. C’est comme le mot « Wiccan », « Palestinien » ça sonne ancien mais en réalité c’est une invention récente. Avant qu’Israël n’ait gagné Gaza en gagnant la guerre, cette terre appartenait à l’Egypte. Et il n’y avait pas dedans de « Palestiniens ». Aussi, la Cisjordanie, c’était à la Jordanie, et là non plus il n’y avait pas de « Palestiniens ». Dès que les Juifs ont pris la terre et qu’ils ont réussi à faire pousser des oranges grosses comme des ballons de basket, les voilà, les Palestiniens qui viennent pleurer leur profond attachement à leur « terre » et à leur « nation » perdues. Pour l’amour de l’honnêteté, pitié, qu’on arrête de dire « Palestiniens » pour décrire cette joyeuse bande de gars qui dansent sur nos morts jusqu’à ce qu’on leur dise qu’ils étaient filmés. Appelons les « les Autres Arabes de la Même Région En Plein Désaveu de N’avoir Jamais Su Rien Accompli Dans Leur Vie et Qui Préféreraient Se Draper Dans Un Séduisant Mélodrame de l’Eternelle Lutte et de la Mort ». Je sais bien qu’il ne faut pas s’attendre à ça sur CNN. Alors, disons simplement « Les Anti-juifs d’à côté ».
Bon, donc, « les anti-juifs d’à côté » veulent leur propre pays. Ouf, encore un truc. Non, ils ne le veulent pas. Il y a 30 ans, ils auraient pu l’avoir comme ils le voulaient, surtout, il y a 2 ans au Camp David. Mais si vous avez votre propre pays, alors il va falloir avoir des feux rouges, des camions poubelles et les Chambres de Commerce, même pire, il va falloir travailler pour vivre ! C’est pas marrant, ça. Non, ils veulent la même chose que tous les autres anti-juifs de la région : Israël. Ils veulent aussi un gros tas de Juifs morts. Ca, c’est marrant. Mais surtout, ils veulent Israël. Pourquoi ? Pour une chose au moins. Essayer de détruire Israël, ou « l’Entité Sioniste » comme leurs manuels scolaires l’appellent, durant les 50 dernières années, a permis aux dirigeants des pays arabes de distraire l’attention de leur propre peule du fait qu’ils sont les plus grands illettrés, les plus pauvres et arriérés de la Terre. Et si vous avez un peu voyagé dans ce monde que Dieu a fait, vous savez que ça veut dire quelque chose.
J’hallucine chaque fois quand j’entends un de nos gourous exalter la grande histoire et la grande culture du Moyen-Orient musulman. A moins que j’ai vraiment loupé quelque chose, les Arabes n’ont rien donné au monde depuis l’algèbre. D’ailleurs, merci bien pour ça ! Essayez de vous représenter ça : 500 millions d’Arabes ; 5 millions de Juifs. Imaginez que les pays arabes est un terrain de football et qu’Israël est une boîte d’allumettes planquée là au milieu. Ces gars jurent que, si Israël leur donne la moitié de la boîte d’allumettes, tout le monde deviendra des potes. Sans blague ! Excellente idée. N’oublions pas si vite la série de guerres pour oblitérer ce petit pays et le fait qu’ils se sont jurés avec leur sang qu’ils allaient jeter tous les Juifs dans la mer ! Ah bon ? Je plaisante !
Mon ami Kevin Rooney en a une bonne, à propos des chiffres. Imaginez 500 millions de Juifs et 5 millions d’Arabes. Je suis sidéré tellement c’est brillant. Est-ce que quelqu’un peut imaginer les Juifs arborer des ceintures d’explosifs équipées de lames de rasoir ? Bien sûr que non. Est-ce qu’ils peuvent mobiliser toutes les forces et les ressources à leur disposition pendant des générations pour jeter un petit état arabe à la mer ? C’est absurde. Est-ce qu’ils vont danser de joie pour les meurtres des innocents ? Impossible. Ou encore, peuvent-ils répandre – et avaler – les horribles mensonges comme quoi les Arabes font leur pain avec du sang d’enfants ? Dégoûtant. Non, vous le savez bien, laissés à eux-mêmes dans un monde de paix, la pire chose que les Juifs pourraient faire aux gens, ce serait de discourir à en mourir !
M. Bush, que Dieu le bénisse, marche sur une corde. Je comprends qu’avec les opérations à venir, contre l’Irak et les autres, c’est dans notre intérêt, en tant qu’Américains, de stabiliser nos alliés arabes autant que possible, après tout, ça ne doit pas être plus facile que de stabiliser une bande de super-mannequins sans leur drogue.
Quand même, sur le grand tableau de la stratégie, il y a un danger de perdre le capital moral. On en a déjà perdu. Après le 11 septembre, notre président a dit au monde et à nous-mêmes qu’il allait déraciner le terrorisme et tous les pays qui le soutenaient. Magnifique. Puis, les Israéliens, après avoir vécu des mois et des mois le même drame que nous à Oklahoma, d’abord une fois par semaine et puis carrément une par jour, ils ont commencé à faire la même chose que nous. Et nous, on leur a dit de faire preuve de la retenue ! Si l’Amérique devait subir un Oklahoma par jour, croyez-moi, l’administration aurait déjà hurlé l’ordre de tuer tout ce qui se trouvait au sud de la Méditerranée et à l’Est du Jourdain. N’est-ce pas horrible ?"